Je me suis ouverte d'un coup libérant mes pauvres défenses

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il y a 6 ans

Je me suis ouverte d'un coup libérant mes pauvres défenses

Avec le souvenir, je sais que ma nature entière s'ouvrit comme une fleur dès l'instant de ma rencontre avec le sexe de Jean-Michel, mon homme... Ses parfums et sa sueur m'enivraient, me libéraient totalement : je laissais s'exprimer toute ma féminité rêvée, je gémissais comme une petite chatte, d'une voix aiguë et câline, j'agitais ma croupe d'une manière obscène, je souriais aux anges...Quand il semblait au bord de l'explosion, je renonçais à jouer de ma langue, je le caressais seulement de mes cheveux, parcourant l'espace béni, musclé de ses deux cuisses, puis revenant vite lécher le bas de sa bitte, ma maîtresse désormais...

Je me souviens qu'il m'ordonna de me calmer, qu'il se releva brutalement et me poussa v i o l emment vers le couloir de la chambre : inconsciemment ou non, je trottinais sur mes talons le plus vite que je pouvais, sentant que j'excitais ainsi terriblement Jean-Michel : pour la première fois, j'étais fière de mon cul rond et je me sentais heureuse de l'exhiber devant un homme aussi viril.

Spontanément, je me glissais dans le lit du coté habituellement occupé par ma mère. Jean-Michel était reparti vers la cuisine. Je l'entendis refermer le réfrigérateur. J'étais à nouveau très nerveuse. Il éteignit les lumières de la maison, et j'entendis ses pas qui se rapprochaient. Il était le maître absolu : je songeais un instant qu'il possédait désormais cette maison, comme ma dot de jeune mariée. J'étais folle de désir et de terreur.

Je l'entendis jeter ses vêtements dans la salle de bains : puis il apparut dans l'embrasure de la porte : il était totalement nu, très grand, très fort : son sexe était en érection : il marchait vers notre lit en souriant : il tenait entre ses doigts un petit carré de beurre dont il défaisait l'emballage : il me demanda de repousser les draps qui me cachaient et de me montrer à quatre pattes : il s'approcha, frottant la toison de sa poitrine et de son sexe contre mon visage : il m'ordonna de lui dire que je voulais être prise : je dus le répéter plusieurs fois, en ajoutant des mots très amoureux : puis il passa derrière moi et me beurra très profondément l'anus, à deux doigts. J'étais abandonnée... Il m'a pénétrée tout de suite après, moi toujours à quatre pattes, exhibée en pleine lumière, f o r c é e à pousser des cris de fille, sa bouche sur ma nuque, sa langue dans mon cou, son rire, mes oreilles mordues.

Dès cette première fois, il m'a retournée, un traversin sous mes hanches, et m'a prise par devant : il faisait durer sa prise de possession, me labourait le ventre, il riait car je perdis un gaz ou deux : il me dominait totalement, mon parfum de femme dispersé sous ses coups de bite comme une fleur broyée, mes narines et ma bouche sous l'odeur forte de ses aisselles d'homme qu'il me fallait lécher.

Je me suis ouverte d'un coup, libérant mes pauvres défenses, il l'a senti, et m'a f o r c ée à lui dire des mots d'amour, les mots d'une femme affamée de sa belle bite :mes jambes montaient droit vers le ciel, complètement écartées pour recevoir mon homme : je pensais à toutes les femmes qui faisaient en même temps que moi l'amour à cet instant. Je lui dis ces mots d'amoureuse et d'esclave qu'il exigeait, je les lui dis d'une voix de chienne en chasse, de femelle rassasiée, je m'ouvrais chaque seconde un peu plus, je sentis soudain un fleuve chaud, les mouvements saccadés de son grand corps en moi, je gémis très tendrement en l'appelant...mon amour.

Il m'a traitée gentiment de petite salope, et m'a demandé de nettoyer son sexe avec mes cheveux. Il éteignit la lumière en me conseillant de plutôt penser à la journée de ménage et de lessive qui m'attendait. Il s'est endormi très vite : son sperme coulait sur mes cuisses, je voulais le retenir en moi comme une preuve que tout ceci était arrivé. Je léchais mes doigts pleins de cette liqueur si odorante.

La soie de ma nuisette était délicieuse sur ma peau. Je n'avais pas trop mal au derrière. Je trouvais cette douleur comme exquise car elle venait de lui. Je me sentais béante, les fesses offertes, mon corps tout entier définitivement féminisé par cet homme. Quand je réalisai à quel point Jean-Michel m'avait épanouie, à quel point mon corps avait grâce à lui un sens, je vins doucement contre lui, je plongeai la tête vers son sexe, et je me mis à lui lécher en tremblant les poils de son pubis, craignant de le réveiller en me précipitant encore vers sa bite adorée. Il me semble que j'ai fini par m'endormir là, ma nuisette remontée très haut, exhibant mon cul comblé, ouvert, mes mains menues peureuses de caresser cette montagne de muscles, mes lèvres embrassant ses doux poils et sa précieuse sueur d'amour.

J'étais femme, j'étais heureuse, j'étais très impatiente de cette f o r c e et de ce rut en moi, encore, dès notre réveil : la nuit saurait-elle être aussi brève que possible ?

Il faut que je vous dise...

Je vous embrasse

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